Spectacle | « Petites formes en forme » + « Ca va mal finir »

19h00 : Petites formes en grande forme avec :
« Syndrome d’écho » par Juliana Béjaud > Pour bien démarrer la soirée, Syndrome d’Écho propose une immersion contemplative et sonore, un temps de réparation en commun. Y-a-il des signes à l’invisible ? Quels comportements semblent révélateurs ? Par transparence nous tenterons(…)

19h00 : Petites formes en grande forme avec :
« Syndrome d’écho » par Juliana Béjaud > Pour bien démarrer la soirée, Syndrome d’Écho propose une immersion contemplative et sonore, un temps de réparation en commun. Y-a-il des signes à l’invisible ? Quels comportements semblent révélateurs ? Par transparence nous tenterons d’accéder à l’intime. De l’eau, une performeuse immergée, une nappe musicale, des états et des sensations… Une invitation à observer, à se laisser porter entre l’onde de l’eau et l’onde musicale. Un moment supendu, poétique et délicat.
« La reine d’Angleterre » par Thierry de Chaunac > Elle avait fait escale à l’Arène en 2013 ! Pour notre plus grand plaisir, elle nous revient toujours aussi pimpante et délirante avec un numéro étoffé de sa longue expérience de la vie…

Janine est femme de ménage de son état. Astiquer, frotter, récurer est son lot quotidien, son seul horizon, la cuvette des wc. Mais ce soir elle jette le gant, ce soir elle fait peau neuve, ce soir elle est… la Reine d’Angleterre ! Déraisonnable et so british, découvrons cette nouvelle reine incongrue avec son pique-nique, sa collation de bière, son skate-board, sa catapulte à renard… et ses autres élucubrations !
20h00 : Dîner
21h30 : « Ca va mal finir » par le collectif Chacun pour soi > Heureux d’accueillir à nouveau à l’Arène CCC, le Collectif Chacun pour Soi qui nous avait régalé avec « Prisca de Grimon » et « Le Gros Cabaret ».
Dans le cadre du presque centenaire de la mort d’Isadora Duncan, « Les Isadorantes » vont rendre un hommage à la célèbre danseuse Isadora Duncan. L’enjeu est de taille tant cette dernière a révolutionné le monde de la danse.
Très émotives, elles vont donner à voir leur vision de l’artiste et de la femme à la recherche de liberté absolue. Ce duo décomplexé, passionné par la danseuse, nous raconte la vie artistique mais aussi personnelle, un destin qui fut rythmé par plusieurs drames et se terminera par une mort tragique.
À travers la danse et la musique, nos clownesques Isadorantes prennent à cœur de tout nous raconter, les drames sont livrés dans leurs moindres détails, prenant parfois l’allure d’une reconstitution ou d’une danse.
Dans leurs réalités corporelles, les notions d’émancipation prendront une toute autre couleur, mêlant la grâce et l’inattendu… Du très sérieux burlesque !